Lorsque je voulus t'enfourcher ce matin, je dûs accepter la dure réalité: tu n'étais plus là. Où je t'avais garé ne restait plus que le bon antivol, coupé en deux. Un salaud t'avait volé. Bien que je n'aie aucun espoir de te revoir un jour, j'ai tout de même porté plainte au "commisariat en ligne". On se sait jamais...
Tu m'as rendu bien des services, alors que je t'ai possédé bien trop peu longtemps. De nombreuses chevauchées dans Berlin et Hambourg resterons de bons souvenirs. Par contre, la nouvelle roue avant que je t'ai offerte il n'y a que quelque jours me reste un peu en travers de la gorge. Maintenant, je n'ai pas d'autre choix que de puiser une nouvelle fois dans mes reserves financières pour te remplacer. Quel gâchi. Heureusement que tu existe encore en magasin.
Tu m'as rendu bien des services, alors que je t'ai possédé bien trop peu longtemps. De nombreuses chevauchées dans Berlin et Hambourg resterons de bons souvenirs. Par contre, la nouvelle roue avant que je t'ai offerte il n'y a que quelque jours me reste un peu en travers de la gorge. Maintenant, je n'ai pas d'autre choix que de puiser une nouvelle fois dans mes reserves financières pour te remplacer. Quel gâchi. Heureusement que tu existe encore en magasin.
2 commentaires:
Qu'il aille en enfer le voleur.
Avec compassion et colère
Ton père.
A quand les Vélibs sur les routes d'Hamburg ?
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