Comme déjà lors du concours pour devenir une université d'élite, où Heidelberg est passé juste a côté de l’obtention de ce titre très prisé tout en faisant bonne figure, l’indécision est de mise dans la ville en ce qui concerne la neige. Alors qu’à Karlsruhe, où je déambulais hier soir dans les rues, rendu euphorique par la couche de neige fraîche, ici, c’est presque la dizette. A peine un fine couche de 2mm. Karlsruhe a son université d’élite, et maintenant sa neige. Quelque chose ne va pas à Heidelberg…
Mais venons-en à la raison de ma visite à Karlsruhe, le concert de Now It’s Overhead au Jubez à Karlsruhe. De nouveau une soirée tres réussie. Le groupe qui jouait en ouverture, Diego, un groupe local, proposa une performance solide, musicalement dans le genre d’Interpol (je viens de lire sur leur site qu’on appele cela der la métro-pop). Un peu plus d’expérience scénique ferait du bien au groupe, car il manque encore un peu de presence sur scène.
Par contre, Now It’s Overhead joua comme je l’avais espéré. Leur pop-indé assez calme avec des influences électro prend au tripes des les premiers accords. A conseiller, donc. Et puis, le chanteur à un peu l’air d’un gnome et semble prendre beaucoup de plaisir à jouer sur scene. Ce que je ne comprend pas lors d’une performance pareille, c’est comment la majeure partie du public peut passer le concert entier sans à peine se bouger. Au mieux, certains hochaient de la tête an suivant le rhythme. Y a-t’il une interdiction de danser au Jubez? J’ai l’habitude de voir le public à des concerts de musique indé peu actif, mis la, ça battait tous les records! Je ne suis vraiment pas parmi les plus extrovertis habituellement, mais heir soir, mon amie Susi qui m’accompagnaient et moi étions ceux qui montrions le plus notre enthousiasme. Comment peut-on apprécier la musique et rester impassible. Sont-ils trop cools? Cela m’échappe.
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