Ça fait déjà une semaine que je suis ici, il est donc plus que temps que je vous narre mon déménagement de Heidelberg à Berlin. Dimanche dernier, le matin : Toute mes affaires sont emballées, tout mes meubles démontés et prêts pour le transport, je me met tout d’abord en route pour aller chercher la camionnette de déménagement. Celle-ci est plus grande que je ne l’avais imaginé, tout les soucis concernant le manque d’espace étaient donc vain. Cela pouvait donc commencer. Mes aides étaient arrivées, mes affaires étaient vite descendues du troisième étage sur la route, tout allait bien, comme prévu. Quand tout à coup…
J’étais en train de rentrer dans la maison en bas des escaliers quand j’entendis un bruit de verre, suivi d’un cri (« Scheiße ») de la voie que je reconnus comme étant celle de Philippe. J’ai tout de suite pensé qu’il avait laissé tombé l’une des caisses, mais ce n’était pas ça. Philippe avait glissé sur la dernière marche avant d’atteindre l’étage du dessous – il portait une lourde caisse – et en tombant, il était passé avec sa main a travers la vitre de la porte de l’appartement des voisins. C’était donc ça le bruit de verre.
Lorsque j’arriva en haut – en route, je m’étais d’abord fait engueler par la voisin, nous n’avion cas faire plus attention – je suivis une trace de quelques gouttes de sang jusqu’a notre salle de bain, où une équipe composée d’étudiants en médecine (ma colocataire Spela et son copain Geri), d’une infirmière (ma sœur Anne) et quelques autres avaient déjà pris les choses en main. Philippe fût soigné et sa blessure qui saignait quand même assez fort bien bandé. Pendant ce temps, Anne téléphonait déjà à l’hôpital où elle travaille pour organiser les meilleurs soins sur place. Résultat : Mon accompagnement prévu pour Berlin me lâchât, car sa coupure était tout de même assez conséquente, elle nécessita 7 points de suture (demander à Philippe une Photo de la plaie…). Comme il me l’a assuré, ce n’est pas si grave. Il n’a presque pas mal et était secrètement bien content de ne pas devoir faire le voyage, parce qu’il n’en avait aucune envie de toute façon.
C’est ainsi que c’est papa qui dût remplacer le blessé, et après quelques coup de téléphone et courriels pour organiser les changements, nous faisions nos adieux avec mes amis heidelbergeois avec seulement un petit retard sur l’horaire prévu. Nous avions encore un long voyage devant nous, environ 650 kilomètres. Après un arrêt rapide à Göttingen pour embarquer Almuth, qui vint nous aider à décharger à Berlin, nous nous dirigeâmes d’abord à Berlin-Steglitz pour aller chercher mes clefs - merci beaucoup à Michaela Gastiger pour son aide – puis directement dans mon nouveau quartier, Neukölln.
La tension commençait lentement à augmenter : Moi-même j’espérais que mon appartement correspondrait à ce dont je me rappelais. Les autre appréhendaient de voir ce qui les attendait. Surtout papa – je pense qu’il était secrètement bien content d’avoir dû venir pour rassasier sa curiosité – était très énervé. Heureusement, nous ne fûmes pas déçus : L’appartement est grand, beau, propre et a une cuisine équipée. Nous avions donc la motivation nécessaire pour l’effort final de la journée : le déchargent. Petit détail non négligeable, l’appartement est au quatrième étage – sans ascenseur !
A 22 heures, après deux heures de travail épuisantes et avec l’aide très sympa de mon voisin (qui s’est fait porter pâle toute la semaine pour mal de dos – ceci n’est pas une blague) tout était dans l’appartement. Nous nous récompensâmes avec un Döner Kebap excellent chacun, une première pour papa (ça aussi, c’est pas une blague) et une bonne bière. A peine celle-ci bue, nous étions déjà couchés, épuisés. Nous avions réussis.
Merci à tous ceux qui m’ont aidés, sans vous, je n’aurais jamais réussi à tout faire en une journée.
J’ai posté des premières photos de mon voisinage ici. D’autres suivront prochainement, ainsi que des photos de mon appartement. Mais je ne ferai ces dernières que lorsque j’aurai fini de m’installer.
J’étais en train de rentrer dans la maison en bas des escaliers quand j’entendis un bruit de verre, suivi d’un cri (« Scheiße ») de la voie que je reconnus comme étant celle de Philippe. J’ai tout de suite pensé qu’il avait laissé tombé l’une des caisses, mais ce n’était pas ça. Philippe avait glissé sur la dernière marche avant d’atteindre l’étage du dessous – il portait une lourde caisse – et en tombant, il était passé avec sa main a travers la vitre de la porte de l’appartement des voisins. C’était donc ça le bruit de verre.
Lorsque j’arriva en haut – en route, je m’étais d’abord fait engueler par la voisin, nous n’avion cas faire plus attention – je suivis une trace de quelques gouttes de sang jusqu’a notre salle de bain, où une équipe composée d’étudiants en médecine (ma colocataire Spela et son copain Geri), d’une infirmière (ma sœur Anne) et quelques autres avaient déjà pris les choses en main. Philippe fût soigné et sa blessure qui saignait quand même assez fort bien bandé. Pendant ce temps, Anne téléphonait déjà à l’hôpital où elle travaille pour organiser les meilleurs soins sur place. Résultat : Mon accompagnement prévu pour Berlin me lâchât, car sa coupure était tout de même assez conséquente, elle nécessita 7 points de suture (demander à Philippe une Photo de la plaie…). Comme il me l’a assuré, ce n’est pas si grave. Il n’a presque pas mal et était secrètement bien content de ne pas devoir faire le voyage, parce qu’il n’en avait aucune envie de toute façon.
C’est ainsi que c’est papa qui dût remplacer le blessé, et après quelques coup de téléphone et courriels pour organiser les changements, nous faisions nos adieux avec mes amis heidelbergeois avec seulement un petit retard sur l’horaire prévu. Nous avions encore un long voyage devant nous, environ 650 kilomètres. Après un arrêt rapide à Göttingen pour embarquer Almuth, qui vint nous aider à décharger à Berlin, nous nous dirigeâmes d’abord à Berlin-Steglitz pour aller chercher mes clefs - merci beaucoup à Michaela Gastiger pour son aide – puis directement dans mon nouveau quartier, Neukölln.
La tension commençait lentement à augmenter : Moi-même j’espérais que mon appartement correspondrait à ce dont je me rappelais. Les autre appréhendaient de voir ce qui les attendait. Surtout papa – je pense qu’il était secrètement bien content d’avoir dû venir pour rassasier sa curiosité – était très énervé. Heureusement, nous ne fûmes pas déçus : L’appartement est grand, beau, propre et a une cuisine équipée. Nous avions donc la motivation nécessaire pour l’effort final de la journée : le déchargent. Petit détail non négligeable, l’appartement est au quatrième étage – sans ascenseur !
A 22 heures, après deux heures de travail épuisantes et avec l’aide très sympa de mon voisin (qui s’est fait porter pâle toute la semaine pour mal de dos – ceci n’est pas une blague) tout était dans l’appartement. Nous nous récompensâmes avec un Döner Kebap excellent chacun, une première pour papa (ça aussi, c’est pas une blague) et une bonne bière. A peine celle-ci bue, nous étions déjà couchés, épuisés. Nous avions réussis.
Merci à tous ceux qui m’ont aidés, sans vous, je n’aurais jamais réussi à tout faire en une journée.
J’ai posté des premières photos de mon voisinage ici. D’autres suivront prochainement, ainsi que des photos de mon appartement. Mais je ne ferai ces dernières que lorsque j’aurai fini de m’installer.
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