Mais revenons aux humains. J’ai été surpris que si peux d’Indiens parlent bien Anglais. J’aurais pensé qu’ils soient plus nombreux. Bien sûr, chacun connaît quelques phrases (How are you? Where are you from? Are you married?), mais pour vraiment converser plus qu’un peu de small-talk, cela ne suffit souvent pas. Il semble que ce soient vraiment uniquement ceux qui ont eu une bonne éducation qui maitrisent bien la langue de Shakespeare. Bien que l’on trouve toujours des gens prêts à aider, il est parfois assez difficile de s’y retrouver à cause de notre manque de connaissance de langues indiennes (essentiellement le hindi, là ou nous étions). Par exemple, la destination d’un bus n’est souvent indiquée qu’en écriture indienne. En tant que touriste, il vaut donc mieux se faire donner le numéro de la plaque d’immatriculation du bus que l’on doit prendre. J’ai déjà parlé des « messages » dans les bus, même les indiens ne suivent pas toujours. L’un des rares mots hindis que l’on connaît bien vite, c’est « chello ». Ça veut dire « aller » est peut s’utiliser d’une façon très universelle. Quelque usages que j’ai remarqué : « Allon-y », « Partons », « En route », « vas-t’en », etc. Ce n’est pas étonnant qu’on sache vite ce que ça veut dire.
1 août 2008
Les impressions qui resteront - 3ème partie
Les vaches sacrées qui errent dans les rues des villes indiennes sont bien connues. Il est vrai que cela fait une partie du charme des villes de ce pays que hommes et animaux vivent ici côte à côte. J’ai tout de même remarqué que l’on ne croise pas de vaches dans les quartiers plus chics de Delhi, tel que le quartien administratif. Par contre, dans la ville de pèlerinage de Rishikesh, cela pullulait de vaches (et de taureaux) dans les ruelles. Il y en a même une qui m’a lêché, ce n’est pas très agréable. On voit également beaucoup de singes en ville. A Shimla, l’un d’entre eux a failli entre par la fenêtre de notre chambre. En plus, il y a de nombreux chiens errants, on voit des buffles d’eau en ville, des chevaux (parfois bien maigres), des ânes, des cochons, des poules, des chêvres. Dans chaque hôtel, des geckos aux plafonds se nourrissent des nombreux moustiques et autres insectes. En revanche, je n’ai vu qu’un seul chat de tout le voyage.
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